Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Présentation

  • : Clamart National et Populaire
  • : site politique pro Marine Le Pen
  • Contact

Recherche

8 mai 2011 7 08 /05 /mai /2011 18:05

 

 Après la Grèce dont la restructuration de la dette est une question de jours ,c'est maintenant des ministres irlandais qui demandent la restructuration de la dette irlandaise. Rien ne va plus dans la zone euro notre "cher" Sarkozy ne pourra pas maintenir l'Euro à flot jusqu'aux présidentielles.Rappelons qu'au mois de mars les prêts à la Grèce ont creuser le déficit français..

Les événements à venir vont donner raison à Marine Le Pen, il faut préparer une sortie en ordre de l'Euro. Revenons à nos monnaies nationales et remettons en place l'ECU (European currency unit)

"Le ministre de l'Energie irlandais a souhaité que la dette émise par son pays dans le cadre du plan de sauvetage de l'Union européenne (UE) et du Fonds monétaire international (FMI) soit rééchelonnée.

"Les taux d'intérêt (du prêt accordé à l'Irlande) doivent être abaissés et, de mon point de vue, la dette doit être restructurée", a déclaré ce dimanche Pat Rabbitte, ministre de l'Energie irlandais, à la chaîne RTE. Il a estimé que l'Irlande pourrait bénéficier des discussions autour de la crise grecque et d'une éventuelle restructuration de la dette du pays.

L'échéance moyenne de la dette émise dans le cadre du plan d'aide international de 85 milliards d'euros est actuellement de sept ans et demi.

Le gouvernement irlandais souhaiterait par ailleurs que le plan d'aide soit renégocié par le biais d'une approche multilatérale, a-t-il ajouté.

Plus tôt, le journal Irish Mail avait rapporté, citant une source ministérielle anonyme, que le gouvernement irlandais prévoit que la dette publique soit restructurée dans les trois années à venir. Selon cette source, le gouvernement espère qu'un éventuel accord de restructuration de la dette grecque ouvrira la voie pour des négociations avec l'Irlande.

Selon les prévisions du FMI, la dette irlandaise devrait atteindre 125% du produit intérieur brut (PIB) en 2013 et la dette grecque 158% du PIB en 2013.

La croissance de la dette irlandaise est un problème et doit être l'objet de négociations avec les partenaires européens, a par ailleurs déclaré dimanche le gouverneur de la banque centrale irlandaise. "Si la croissance économique n'est pas au rendez-vous, il sera bien plus difficile (de faire face à cette dette) (...) et pour faire face à une telle situation nous devons envisager avec l'Europe de meilleurs modalités financières", a déclaré Patrick Honohan sur la chaîne RTE.

latribune.fr, avec Reuters - 08/05/2011, 17:21  | 
 |  
Partager cet article
Repost0
7 mai 2011 6 07 /05 /mai /2011 08:12

  

« Depuis trente ans, la France n'a pas su gérer ses finances publiques. Le ratio de dette n'a presque jamais cessé d'augmenter, la politique budgétaire a souvent été à contretemps de la stabilisation conjoncturelle et le pays a gaspillé sa crédibilité vis-à-vis de ses partenaires à force d'engagements non tenus.

L'échéance cependant est venue et la prochaine élection présidentielle sera dominée par la question budgétaire. Pour deux raisons, interne et externe. La première est que, pour reprendre la maîtrise de ses finances publiques, la France va devoir dès la prochaine mandature procéder à un ajustement sans précédent de l'ordre de 4 points de PIB (80 milliards). La deuxième est qu'à la demande des pays créanciers, qui ne veulent plus tolérer les déficits permanents de leurs partenaires, la surveillance budgétaire européenne va être bien plus prégnante.

Cette double contrainte s'imposera à tous les candidats. Ceux-ci n'auront pas vraiment le choix de l'objectif, seulement ceux du rythme et des moyens. Il est donc souhaitable que le débat électoral porte sur la stratégie de redressement, c'est-à-dire sur l'équilibre entre ajustement par les recettes et/ou par les dépenses, et surtout sur la nature des mesures de recettes et de dépenses.

Il est donc temps de changer de méthode : de distinguer ce qui relève des disciplines inévitables et ce qui ressort du choix politique ; de mettre la politique budgétaire en état de servir les objectifs économiques ; et de regagner une crédibilité perdue. « ( extrait du livre « quelles réformes pour sauver l'État »)

Voilà qui est dit: le prochain quinquennat sera celui de la rigueur et le destin qui nous guette ressemble à s'y méprendre à celui des pays en difficulté dans la zone euro,

Nicolas Sarkozy afin d'arriver à 2012 avec un bilan , a différé les mesures à prendre et a continué à creuser les déficits. Contrairement à ce que la communication gouvernementale nous raconte nous ne nous en sortons pas mieux que les autres, simplement l'austérité a été reportée après 2012. L'unique credo des Europhiles, est de solder la situation en augmentant les impôts et en réduisant les dépenses. Voire comme en Grèce et au Portugal en bradant au privé les services publics. Cet ensemble de mesures étant contraint par les décision de la BCE et Eurogroupe.

Face à cette fuite en avant, d'autres solutions sont possibles qui, même si elles ne nous exonèrent pas de tout effort nous permettront de retrouver notre liberté et des marges de manœuvres. Préparer la fin de l'Euro et redéfinir une nouvelle Europe sont des éléments de la reconquête de notre souveraineté économique, sociale et politique

 

Partager cet article
Repost0
6 mai 2011 5 06 /05 /mai /2011 15:16

 

 Un super article parut sur le blog du magazine "Valeurs Actuelles" qui démontre l'inéluctabilité de l'implosion de l'Euro et de l'Union Européenne sous sa forme actuelle. Mais allons plus loin, cette article confirme que l'affrontement des prochaines présidentielles sera un affrontement entre Souverainistes et Mondialistes. L'affrontement du premier tour entre Sarkozy et DSK n'étant qu'une primaire entre mondialistes que DSK est d'ailleurs entrain de gagner. Le 2ème tour sera un affrontement projet contre projet. Gageons que celui de Marine Le Pen est le plus  aboutit et le plus cohérent pour le camp National. D'ici Mai 2012 , les événements économiques , financiers et sociaux lui auront déjà donné raison.

Il semble que depuis quelques semaines l'équipe de Valeurs actuelles porte un regard de plus en plus sympathique sur l'action de MLP

 

 

" Si un aveugle guide un aveugle, tous les deux tomberont dans un trou. » Cette sentence biblique a inspiré le tableau de Bruegel l’Ancien, où l’on voit une procession d’aveugles liés les uns aux autres s’entraîner mutuellement vers le précipice. La parabole illustrée par Bruegel vaut pour le destin de l’Union européenne, qui n’a jamais paru aussi précaire. Notre inconscient collectif nous le murmure : l’Union, dans son organisation actuelle, est condamnée.

Certains experts le savent et le disent, à l’instar de Joseph Stiglitz, de Jacques Sapir, de Christian Saint-Étienne, de Jean-Luc Gréau, d’Alain Cotta, de feu Maurice Allais, Nobel d’économie symptomatiquement dédaigné par notre intelligentsia pour crime de lèse-béatitude envers l’euro. Notre élite politique aussi le sait, mais elle le tait soigneusement. Il faut la comprendre, exposer la vérité signifierait sa chute. L’euro, ce moteur de la croissance zéro, ne sera bientôt plus qu’une poudre de comète, abîmée dans le vaste charnier d’une oligarchie supranationale qui s’est trop tôt rêvée toute-puissante. Se corrompre dans de telles illusions d’omnipotence et d’expansion indéfinie, c’est la justice que l’Histoire réserve à tous les projets impériaux, même les plus technocratiques et les moins séduisants. L’extraordinaire revitalisation des mouvements populistes européens, que la doxa nous affirmait enterrés dans les sables de la fin de l’Histoire, souligne assez la marche à la mort de l’illusion euratlantique.

Certes, la crise de 2008 a eu un effet d’aubaine pour une partie de la classe politique qui s’est ingéniée à masquer sous les traits de la conjoncture ce qui relève en réalité de failles structurelles, systémiques, propres à l’architecture même de l’Union. Il faut être bien naïf pour avaler la fable crisiste qu’on tente de nous vendre : avons-nous attendu 2008 pour subir la stagflation, les délocalisations, la désindustrialisation massive, le chômage de masse, une politique d’élargissement aberrante, une immigration massive qui a explosé à la fin du siècle dernier, c’est-à-dire au moment même où la lutte contre l’immigration devenait l’alpha et l’omega du discours gouvernemental, plongeant le débat médiatique dans une schizophrénie ravageuse, où le durcissement des paroles va de pair avec l’impuissance des actes ? 2008 n’aura fait que révéler ces lignes de failles, dont aucune n’a été colmatée. La machine s’épuisera dans des annonces de réformes impossibles à mener, et pour cause, l’ordre même de l’Union l’interdit.

Le trou noir des dettes souveraines fait aujourd’hui sentir son irrésistible attraction, poussant à leur perte les économies européennes. Deux événements survenus ces dernières semaines soulignent l’effet d’accélération : d’abord la perspective négative émise par Standard & Poor’s sur la note AAA de la dette publique des États-Unis, qui signifie que le séisme financier mondial n’a pas encore épuisé ses capacités de réplique, puis l’annonce, tout aussi inédite, par le gouvernement français de sa volonté de suspendre les accords de Schengen pour tenter de juguler, vainement, l’afflux de dizaines de milliers de jeunes Tunisiens. L’édifice craque de partout. La pitoyable querelle avec l’Italie dit la faillite civilisationnelle dans laquelle nous sommes engagés. Sur le plan économique, maintenant que les pions sont tombés (Grèce, Irlande, Portugal), le cercle du désastre s’élargit et ce sont les pièces de choix qui vont être mises en jeu. L’Espagne sera la prochaine à offrir sa tête au billot du Fonds de solidarité. Gageons que le couple franco-allemand, roi et reine de ce sombre échiquier, fera tout pour proroger la demande de soutien des Ibères, qui entraînerait inéluctablement l’effondrement de l’union monétaire. Formidable entropie qui engloutira tout de l’utopie sans-frontiériste : l’euro et Schengen imploseront simultanément. L’effet de sidération qu’engendrera cette implosion dans les opinions publiques se traduira par une série de révolutions politiques internes. Un basculement que tous les sondages annonçent et dont 2012 va dramatiquement préciser les contours.

On aimerait ne pas avoir à se réjouir de telles perspectives. Et pourtant, nombre de politiques avisés, défaits par le référendum de Maastricht, nous avaient mis en garde : cette autodestruction était inscrite dans le programme génétique même de l’Union et de l’idéologie supranationale. Nous serions-nous bornés à une Europe des Douze, fondée sur des coopérations bilatérales, seule solution pour aboutir à terme à un ensemble politique et économique stable et cohérent, que nous n’aurions pas eu à redouter un naufrage aussi radical. Persistance des Cassandre. Inutile désormais de chercher à sauver un vaisseau amiral dont la coque est trouée. La situation ne nous laisse d’autre choix que de nous préparer à abandonner l’embarcation. L’épreuve sera douloureuse à court terme mais salvatrice à moyen terme. La plaie a de toute façon suffisamment suppuré. Il est temps de parapher l’acte de décès et d’achever cette chimère malade ou c’est elle qui nous achèvera. " Georges-Henri Bricet des Vallons est chercheur en sciences politiques, spécialiste des questions de défense

 

Partager cet article
Repost0
5 mai 2011 4 05 /05 /mai /2011 22:05

 

Les réactions suite à l’exécution d’Oussama Ben Laden ont été extrêmement intéressantes par leur côté contradictoire et hypocrite :

Pour Christine Lagarde (ministre UMP), « on ne peut que se féliciter de ce qui s’est passé ». « Ce sera pour ce pays une façon de cicatriser une blessure ouverte depuis le 11 septembre 2001 ».

Pour Pierre Moscovici (PS), « c’est un acte réparateur, un acte symbolique d’une portée incroyable ».
Même pour le Parti communiste, « cette mort est un événement important ».

Enfin, pour François Bayrou (Modem), « D’une certaine manière, la peur change de camp »

Alors que le Front National réclame depuis des années l’instauration de la peine de mort pour les terroristes ou les assassins d’enfants, il est particulièrement singulier de remarquer que ces mêmes dirigeants de l’UMPS, qui y sont strictement opposés en France et poussent de grands cris à sa simple évocation, s’en félicitent largement et ouvertement lorsqu’elle est appliquée par arme à feu par les Etats-Unis.

Les dirigeants de l’UMPS font bel et bien définitivement partie de ces dirigeants impuissants qui se félicitent lorsque leurs voisins agissent de manière forte, mais ne feraient rien de simplement ferme pour que la peur change de camp si leur propre pays était concerné par des attentats.

Ce double langage est décidément navrant…

Partager cet article
Repost0
3 mai 2011 2 03 /05 /mai /2011 20:50

 

  Lettre ouverte de Marine Le Pen, Présidente du Front National, aux dirigeants de la CGT en réponse à leur tract injurieux

Jadis porte-flambeau du glorieux mouvement ouvrier, les dirigeants de la CGT viennent de déshonorer une fois de plus cet héritage en rédigeant contre le Front National un tract ridicule, mensonger, mais tellement révélateur.

La longue bafouille de la CGT est d’abord ridicule.

Faut-il que la direction cégétiste soit tombée intellectuellement si bas pour qu’elle produise une telle caricature ? Son tract contient tous les poncifs de la pensée bobo contre le Front National, celle qui se masque la réalité de ses échecs, celle qui refuse de traiter les sujets de manière rationnelle, préférant l’invective et l’injure aux débats d’idées.

 C’est plus sûrement à la terrasse d’un café germanopratin que dans une usine ou des bureaux d’entreprise que ce texte à été conçu. Les travailleurs français, la base-même de la CGT, ne peuvent pas se retrouver dans cette succession de clichés de la pensée unique, qu’un Laurent Joffrin ou un Alain Duhamel auraient pu signer, et il est inquiétant de voir que la direction de la CGT ne s’en rend même plus compte…

Ridicule aussi, ce tract l’est assurément, quand il commet des erreurs grossières, présentant par exemple Carl Lang comme un « dirigeant frontiste », alors qu’il a quitté le parti depuis plus de deux ans. Voilà qui en dit long sur le sérieux de ce travail…

Il y a là dans ce texte une véritable offense à l’intelligence, qui montre le peu de cas que fait aujourd’hui la direction de la CGT de sa base.

Plus grave, ce tract est mensonger et insulte par ses mensonges les électeurs du Front National, et plus largement ces millions de travailleurs français ayant déserté les rangs de syndicats déconnectés de leurs problèmes.

La préférence nationale que le Front National propose ne profiterait pas aux « Français de souche » comme il est écrit dans ce texte, mais à l’ensemble des Français ; c’est une différence de taille. Nous considérons effectivement, comme le pratiquent nombre de pays dans le monde, et comme c’est encore la règle dans une partie de notre fonction publique, que les citoyens français doivent être à compétences égales, prioritaires sur les étrangers dans leur pays. Il n’y a là que du bon sens et une saine application des principes de la République française.

Mensonge aussi quand on affirme que le Front National « combat les libertés ».

Bien au contraire, il les défend toutes, à commencer par la liberté de pensée et d’expression. Il les défend bien plus sûrement que la CGT, qui les bafoue en excluant ses adhérents qui se présentent aux élections sous l’étiquette Front National.

Mensonge encore, quand on avance sans rire que le Front National est un parti « ultralibéral, pro Medef », alors que le mouvement de Laurence Parisot ne cesse de critiquer le Front National sur son projet économique, qu’elle juge trop social et trop protecteur.

En développant un projet cohérent de réarmement contre la mondialisation, le Front National démontre qu’il est le seul parti à défendre réellement, efficacement, les travailleurs français, quand la CGT se contente d’actions parsemées, cosmétiques, et qu’elle refuse d’aborder les véritables problèmes, ceux justement que le grand patronat veut taire : quid de l’Union européenne et de l’euro qui nous appauvrissent ? Quid de l’affaiblissement de l’État ? Quid de la ruine de nos PME ? Quid de la concurrence internationale déloyale qui provoque délocalisations et désindustrialisation ? Quid de l’immigration utilisée pour peser à la baisse sur les salaires des travailleurs français ? Voilà des questions que jamais la CGT ne pose !

Mensonge enfin quand on présente le Front National comme une force anti-syndicale.

Mais qui a tué le syndicalisme en France si ce ne sont les centrales syndicales, à commencer par la CGT, qui n’ont eu de cesse de mépriser l’intérêt véritable des travailleurs, en négociant dans leur dos avec les pouvoirs politique et économique des accords au rabais, trahissant pour quelques postes et avantages personnels les intérêts de millions de Français ? Qui a dégoûté les travailleurs français d’y adhérer si ce ne sont ces centrales syndicales, qui ne représentent plus que 7 % d’entre eux, taux le plus faible d’Europe !

Le Front National veut lui des syndicats puissants, indépendants, vraiment représentatifs, réellement soucieux des intérêts des travailleurs français. Il se donnera les moyens législatifs et réglementaires de cette ambition syndicale quand il sera au pouvoir, et assurera un contrôle du financement des organisations syndicales. Il encouragera la création de syndicats patriotes dans la mondialisation, quand aujourd’hui les états-majors des syndicats, CGT en tête, se vautrent dans une attitude d’acceptation et d’accompagnement des dérives ultralibérales !

Ce tract enfin est révélateur : en prenant la défense de l’euro, usant pour cela de la même vulgate techno que les économistes ultralibéraux du Medef, la CGT a démontré aux travailleurs, à ces « petits » qu’elle dit vouloir défendre, à quel point elle est du côté des « gros » !

On savait la CGT partisan comme le Medef et le pouvoir sarkozyte de l’ouverture totale des frontières, le rêve du grand patronat depuis des siècles.

On la sait maintenant fanatique de l’euro, la monnaie des banques ! Les travailleurs et retraités grecs, irlandais, portugais, qui aujourd’hui sont laminés et appauvris comme jamais dans le but exclusif de « sauver l’euro à tout prix » apprécieront ce coup de poignard dans le dos porté par l’état-major cégétiste !

Ceux qui se souviennent de l’engagement personnel de Bernard Thibault pour le OUI à la Constitution européenne de Monsieur Giscard en 2005, contre l’immense majorité de sa base, ne seront cependant pas surpris de cet aveu ultralibéral…

« Les bobos m’ont tuer » nous dirait la CGT du Conseil National de la Résistance, la CGT patriote de l’après-guerre, celle qui réunissait des millions de travailleurs français.

Le monde ouvrier, le monde employé, la fonction publique, les agriculteurs, se tournent en masse aujourd’hui vers le Front National et son projet de redressement. Alors, que l’état-major cégétiste continue de s’enfoncer dans sa dérive bobo. Il est à parier que les travailleurs se tourneront encore plus nombreux avec espoir vers le Front National et ses propositions pour l’emploi, le pouvoir d’achat et la réindustrialisation du pays, car travailleurs et retraités français n’ont que faire des diffamations, des insultes, des mensonges de la direction de la CGT.

Ils veulent le changement et ils ont compris où il se trouve !

Partager cet article
Repost0
3 mai 2011 2 03 /05 /mai /2011 15:21

  Les arrestations massives de migrants qui ont transité par l’Italie tournent au fiasco judiciaire. A Marseille, tous les Tunisiens qui comparaissaient ce week-end ont été libérés.

Le week-end fut fatigant et savoureux pour quelques avocats marseillais, spécialistes du droit des étrangers. En deux jours, ils auront assisté 35 Tunisiens devant le juge des libertés et de la détention (JLD). La préfecture demandait l’autorisation de prolonger leurs rétentions, afin de les reconduire vers l’Italie ou la Tunisie. Mais les policiers avaient accumulé les erreurs de procédures, lors d’arrestations massives. Et, quelques jours plus tard, le gonflement de muscles se traduit par une débandade judiciaire. Tous les hommes qui comparaissaient samedi et dimanche ont été libérés. [...]

La situation se répétant dans de nombreuses villes françaises, avocats et associations s’interrogent. Quel est le sens de cette débâcle préfectorale ? L’avocat Philippe Perollier avance une explication : « C’est peut-être une simple opération politique. On montre ses muscles pour faire plaisir à l’opinion, on mène des arrestations médiatiques, même si elles ne mènent à rien. »

Partager cet article
Repost0
2 mai 2011 1 02 /05 /mai /2011 18:11

 

    Voilà c'est dit, les nouveaux migrants exigent des appartements, ou de l'argent pour rentrer chez eux.Sarkozy s'agite, les frontières restent ouvertes et les Français vont payer une fois de plus. Il faut quitter Schengen, renvoyer les migrants régularisés par l'Italie chez eux et revoir notre politique sociale en direction des nouveaux arrivants.

 

De jeunes migrants tunisiens occupaient lundi un immeuble situé au 51 avenue Simon Bolivar, dans le XIXe arrondissement de Paris. Ils ont investi le bâtiment vers 1h du matin, selon Mouhieddine Cherbib, membre de la Fédération des Tunisiens pour une citoyenneté des deux rives (FTCR). Le nombre d'occupants varie selon les sources. D'après la police, entre 80 et 100 Tunisiens sont installés dans le bâtiment, alors que certains occupants parlent de 200 personnes, dont plusieurs mineurs. La police a déployé un dispositif minimum et n'empêchait pas les allées et venues.

«Ni police, ni charité, un lieu pour s'organiser», réclamait une banderole déployée sur le bâtiment par le Collectif des Tunisiens de Lampedusa à Paris, qui revendique l'occupation. «Nous vivons dehors, passons de 24 à 36 heures sans fermer l'œil, nous avons peur, nous avons froid et manquons de tous les besoins fondamentaux de la vie quotidienne», explique ses membres dans un communiqué. Le collectif appelle à un rassemblement devant l'immeuble ce lundi soir et demande à ceux qui veulent le soutenir d'apporter de la nourriture et des couvertures

L'immeuble, un bâtiment insalubre qui avait été occupé par des membres du collectif Jeudi noir à la mi-avril, est la propriété de la ville de Paris, mais «ce n'est pas une action contre la mairie de Paris», a déclaré Mouhieddine Cherbib. «Nous voulons interpeller le gouvernement pour obtenir des logements décents pour ces Tunisiens.»

Yves Contassot, conseiller municipal (Vert) de la ville présent sur place, a indiqué que des négociations avec le cabinet du maire étaient en cours. «L'idée est de trouver un lieu pour 80 personnes», a-t-il ajouté, précisant que la mairie de Paris devait faire des propositions dans l'après-midi. Selon lui, certains migrants seraient prêts à rentrer en Tunisie mais en contrepartie d'une prime au retour volontaire de 2000 euros

Partager cet article
Repost0
1 mai 2011 7 01 /05 /mai /2011 21:28

 

De plus en plus d'économiste de droite comme de gauche annoncent la fin de l'euro. Marine Le Pen n'est plus seule et ceux qui imaginent s'en sortir en expliquant que la fin de l'euro est inimaginable se trompent et trompent les Français

 

La tribune de l’économiste, professeur émérite à l’ESSEC, Florin Aftalion, parue ce jour dans Le Figaro et intitulée « La fin de l’euro est non seulement possible mais inévitable », ainsi que le récent document de travail de l’économiste Jacques Sapir « S’il faut sortir de l’euro », mis en ligne le 6 avril dernier, enrichissent utilement la réflexion sur une sortie organisée de l’euro.

L’étude de Jacques Sapir présente un plan détaillé, précis et rigoureux de ce que serait une sortie intelligente de la monnaie unique, au profit de la liberté monétaire.

Le Front National se réjouit de ces deux publications récentes, qui témoignent de l’intérêt croissant des économistes français pour la question de l’euro. A l’étranger, cette question n’est pas tabou comme en France, et c’est normal.

Le Front National est le seul mouvement politique important à traiter sérieusement de ce sujet de premier plan, que l’UMP, le PS, le Centre et les Verts négligent de façon parfaitement irresponsable. Il lui consacre une base d’études (sortir de l’euro : pourquoi, comment ?) et l’intègre de manière cohérente à son projet économique.

La réflexion sur l’euro est aujourd’hui plus nécessaire que jamais, à l’heure où les plans de « sauvetage » de la Grèce, de l’Irlande et du Portugal sont en échec total. Les taux d’intérêt payés par ces pays ne cessent de battre des records, atteignant des niveaux dramatiques. La restructuration de la dette grecque est inévitable, et l’Espagne semble condamnée à court terme au même avenir sombre.

Pour mettre fin au sacrifice des peuples sur l’autel de l’euro, synonyme de casse sociale et d’explosion des dettes, il faut préparer le rétablissement de la souveraineté monétaire.

Le Front National salue les économistes qui s’y emploient.

Tribune de Florin Aftalion

Document de travail de Jacques Sapir

Partager cet article
Repost0
27 avril 2011 3 27 /04 /avril /2011 13:08

 

  Roger Karoutchi s’apprête à faire un joli coup double dans les Hauts-de-Seine. L’ancien ministre, qui se définit lui-même comme « un océan et de sérénité et de diplomatie » pourrait ainsi hériter de la tête de liste UMP aux sénatoriales de septembre et du secrétariat de la fédération UMP des Hauts-de-Seine. Ce dernier poste est vacant depuis que Philippe Pemezec en a claqué la porte après les cantonales. Par ce geste, le vice-président du conseil général des Hauts-de-Seine et maire du Plessis-Robinson avait voulu dénoncer l’accord noué in extremis à l’Élysée entre Patrick Devedjian et Jean Sarkozy - deux adversaires pacifiés - pour la présidence du conseil général. Pemezec cherche aussi à se concentrer sur les législatives de 2012, sur la 12e circonscription qu’il a perdue en 2007 après le rejet de ses comptes de campagne par la justice.

Contrairement à ce qui s’était passé en 2004, il ne devrait donc pas y avoir de primaires à droite dans les Hauts-de-Seine. Les deux grandes figures du département qui avaient constitué des listes parallèles, les sénateurs Charles ­Pasqua (84 ans) et Jean-Pierre Fourcade (81 ans), devraient prendre leur retraite parlementaire. Isabelle Balkany, la première adjointe de Levallois battue aux cantonales par Arnaud de Courson, s’est offert un « break ». L’horizon est donc dégagé pour Roger Karoutchi, qui sait combien le département historique du chef de l’État a besoin de calme après la tempête des cantonales et avant les échéances de 2012. Lui dont le nom a été validé en réunion d’arbitrage à l’Élysée, la semaine dernière, promet d’apporter « la mobilisation et la dynamique » dont le département a besoin alors que la gauche guigne un troisième siège sur les sept disponibles. Ambassadeur auprès de l’OCDE, il juge qu’après la présidence française du G20, « un diplomate moins politique » que lui pourra lui succéder, ce qui lui permettra « de ne plus être tenu par le devoir de réserve pendant la bataille de la présidentielle… »

Sénatrice UMP sortante, Isabelle Debré est pour le moment en deuxième position derrière Roger Karoutchi, et devant un autre sénateur sortant, Jacques Gautier. Pour renforcer ses chances, Isabelle Debré s’était portée candidate pour le poste de secrétaire de la fédération. Mais elle n’ignore pas que le choix de Jean-François Copé, qui sera ratifié en bureau politique le 27 avril, s’est déjà porté sur Roger Karoutchi. « Je ne suis pas pour les quotas mais je souhaitais apporter un regard de femme sur le département », regrette un peu cette proche de Patrick Devedjian qui se dit pourtant « satisfaite de l’arbitrage rendu en faveur de Roger Karoutchi ».

Pour la quatrième de liste, les jeux restent ouverts. Et la place fragile alors qu’une liste Nouveau Centre sera conduite par le maire de Meudon, Hervé Marseille, et que le sénateur MoDem sortant, Denis Badré, maire de Ville-d’Avray, devrait également se représenter. La députée-maire UMP de Puteaux, Joëlle Ceccaldi-Raynaud, serait en cours de négociation pour la deuxième ou la quatrième place. La présidente de l’Epad (établissement d’aménagement de La Défense), qui pèse son poids chez les grands électeurs altoséquanais, passerait volontiers de l’Assemblée au Sénat. Elle sait que Jean-Christophe Fromantin, le maire divers-droite de Neuilly, élu au conseil général avec plus de 70 % des voix, lorgnera en juin 2012 sur sa circonscription. Redoutant d’être fragilisée pour les municipales de 2014, elle sait que Fromantin est en position de force. Celui-ci vient d’ailleurs de s’entendre avec Patrick Devedjian, le président de l’Assemblée départementale, pour ne pas constituer de groupe dissident tout en disposant de missions et d’un bon temps de parole.

Partager cet article
Repost0
26 avril 2011 2 26 /04 /avril /2011 16:39

  Communiqué de Marine Le Pen, député français au Parlement européen, Présidente du Front National

L’agitation autour du Traité de Schengen, sciemment entretenue par le pouvoir sarkozyste depuis plusieurs jours, vient donc de déboucher sur ce qui était prévisible depuis le départ : le néant.

Silvio Berlusconi et Nicolas Sarkozy ont en effet annoncé leur intention de procéder à un ajustement technique de Schengen, qui ne sera pas évoqué avant un sommet européen en juin prochain…

Bref, ni suspension de Schengen, et encore moins une remise en cause de ce funeste Traité, pourtant responsable d’une explosion de l’immigration et de trafics en tout genre depuis sa mise en place.

L’annonce d’un ajustement technique de Schengen ne réglera strictement rien. Les réseaux de passeurs de migrants venus de Tunisie et de Libye peuvent se frotter les mains : le pouvoir une nouvelle fois a montré que les mots et les rumeurs cachaient une coupable inaction.

Marine Le Pen, Présidente du Front National, estime que le sommet franco-italien aura été un sommet pour rien, une perte de temps. Pendant que Nicolas Sarkozy palabre, les immigrés légaux et clandestins continuent d’entrer en masse en France, et rien ne sera fait pour juguler cet afflux.

Seule une sortie de Schengen, qui placerait la France sur le même plan que l’Irlande ou le Royaume-Uni qui ont refusé ce Traité, permettra de rétablir les nécessaires contrôles aux frontières et de stopper l’immigration.

Partager cet article
Repost0