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9 mars 2011 3 09 /03 /mars /2011 16:52

Nicolas Sarkozy avait prévenu qu’il sauverait l’euro à tout prix. Et bien ce prix est en train d’être payé, et chèrement payé par les Français.

Le ministère du budget révèle en effet que le déficit de l’Etat a atteint 13,4 milliards d’euros pour le seul mois de janvier, contre 9,2 milliards un an plus tôt, soit une hausse effarante de 46 %.
Bercy ajoute que le prêt accordé par la France à la Grèce pour payer ses créanciers et sauver l’euro explique une partie de ce dérapage : 1,4 milliard d’euros.
Pour sauver un système à bout de souffle bâti autour du dogme de la monnaie unique, chaque Français aura donc jeté dans le trou de la dette grecque un billet de 20 euros en janvier…

Les plans de sauvetage UE/FMI/DSK créent misère, dette et sont inefficaces

Cette information confirme l’analyse du Front National : les plans de sauvetage européens UE/FMI/DSK, décidés sans l’accord des peuples, sont en train de créer partout de la dette, au détriment du pouvoir d’achat et de la prospérité.

Sans aucun résultat, puisque la Grèce affronte de nouveau une situation financière catastrophique, qui amène les banques à lui facturer des taux d’intérêt historiquement hauts, plus hauts qu’avant le plan de sauvetage (13 % ce jour) !
La vérité impose de dire aux Français que ces masses d’argent versées à la Grèce ne leur seront jamais rendues. Les analystes économiques ont en effet prévenu : la Grèce bientôt restructurera sa dette.

La dette française s’alourdira encore à cause du plan de sauvetage irlandais, et du plan à venir pour le Portugal, prochaine victime, imminente d’après les analystes, de la crise de l’euro.

Une autre voie, juste, efficace et pragmatique est possible !

Marine Le Pen, Présidente du Front National, propose un plan d’action crédible et radicalement différent, fondé sur une rupture avec l’idéologie de « l’euro à tout prix ». Ce plan, détaillé sur le site du Front National, s’appuie sur les travaux d’économistes qui ouvrent une voie plus juste et plus efficace : il faut oxygéner nos économies en préparant une sortie intelligente de l’euro, qui permettra de retrouver l’arme monétaire face à la crise.

Le plan du Front National est le seul qui permette d’éviter le sacrifice des peuples sur l’autel des dogmes ultralibéraux. Ce projet d’espoir est aussi le seul qui soit fondé sur une analyse pragmatique de la situation actuelle, alors que la caste UMPS est prête à toutes les folies pour sauver son dogme : l’euro.

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8 mars 2011 2 08 /03 /mars /2011 09:54

 

 

  Alain Duhamel a encore frappé. Qualifiant ce matin sur RTL la publication par le Parisien d’un sondage plaçant Marine Le Pen en tête au premier tour de la présidentielle de « très mauvais journalisme », il a une nouvelle fois mis à jour le fossé, ou le gouffre ?, qui le sépare des Français et de la réalité du pays.

Le sondage du Parisien n’est certes qu’un sondage, à prendre avec prudence comme tout autre, mais pourquoi aurait-il moins de valeur qu’une autre enquête ?

La réponse est simple : représentant caricatural des élites autoproclamées qui cadenassent la France dans la pensée unique depuis des décennies, Alain Duhamel n’aime pas ce qui trouble l’ordre établi, ce qui bouscule la bien-pensance dont il est l’un des plus grands adeptes.

Toute sa carrière le prouve. Beaucoup se souviennent par exemple de la campagne référendaire de 2005 quand chaque matin l’indéboulonnable éditorialiste récitait la propagande grossière du Oui et insultait les tenants du Non.

Mais derrière la pensée unique qu’il incarne mieux que quiconque, il est un reproche plus grave que l’on doit faire à Alain Duhamel : son manque de professionnalisme.

Comment un journaliste politique qui officie régulièrement sur tout ce que la France compte de médias influents peut-il en effet sérieusement affirmer, entre autres sottises, que Marine Le Pen n’a « jamais de réponse en ce qui concerne le blocage de l’immigration », comme il l’a fait sur RTL la semaine dernière ? A-t-il seulement écouté ou lu la conférence de presse de la présidente du FN du 21 février sur ce sujet, au cours de laquelle elle a longuement développé le projet du mouvement sur l’immigration et les mesures concrètes à mettre en œuvre ? On peut en douter ; l’outrance des propos cache mal le caractère très lacunaire de l’analyse politique.

Même observation en ce qui concerne le programme économique et social du Front National que Marine Le Pen développe régulièrement de façon détaillée à travers ses communiqués de presse, ses interventions dans les médias, les vidéos et documents de fond mis en ligne. Pour Alain Duhamel, là aussi, rien : « Marine Le Pen n’a jamais de réponse ».

On remarquera qu’en martelant cet argument sans fondement, Alain Duhamel s’inscrit strictement dans la stratégie de communication de l’UMP.

Décortiquer l’information, se documenter, en somme travailler sérieusement, sur les propositions du FN comme sur tout autre sujet, un pigiste de base le ferait par déontologie et honnêteté intellectuelle. Alain Duhamel s’y refuse, tout simplement parce que le dogmatisme a chez lui définitivement remplacé le professionnalisme.

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7 mars 2011 1 07 /03 /mars /2011 08:32

 

   Une analyse très lucide de Christine Clerc sur la montée de Marine Le Pen

 

Tout profite à Marine Le Pen», écrivais-je au lendemain de la démission de MAM et de l'avènement d'Alain Juppé,«homme fort du gouvernement». Je n'imaginais pas, pourtant, que le malaise né de la cacophonie de l'UMP et de la perte de crédibilité du discours sarkozyste - mais aussi de l'explosion de la pauvreté, qui touche six millions de salariés contraints de survivre en travaillant avec moins de 750€ par mois-propulserait la présidente du FN en tête d'une simulation présidentielle publiée, hier, par«Le Parisien-Aujourd'hui en France»:avec 23 %d'intentions de vote, soit deux points d'avance sur Nicolas Sarkozy et Martine Aubry, à égalité avec 21 %. Que s'est-il passé en dix jours?La «révolution du jasmin»aurait-elle gagné - sans bruit-notre pays?

Elites éclairées...

Certes, les sondages sont faussés par l'absence de DSK. Mais l'homme de Washington modifierait-il radicalement la donne s'il entrait en lice, alors que nous assistons, comme lors du référendum européen de 2005, à une sorte de«soulèvement»de la France d'en bas, ulcérée du mépris des élites dites«éclairées»qui prétendent lui donner des leçons de rationalité économique et d'ouverture au monde?Sondage après sondage, un cri monte:«Vous n'avez pas voulu nous entendre?Eh bien, nous allons vous envoyer des avertissements plus brutaux...jusqu'à ce que vous nous écoutiez!».

Ou autistes?

Autiste, la gauche, qui rejette tout débat sur l'Islam au prétexte, déclare Martine Aubry, que c'est une«ineptie»du machiavélique Sarkozy. Elle refuse d'entendre les classes populaires qui n'en peuvent plus de vivre dans des banlieues où l'afflux de familles d'immigrés rend si difficile le«vivre ensemble»cher à la Première secrétaire du PS et où des islamistes tentent d'imposer leur loi à l'école et même dans des crèches comme Babiloup, à Chanteloup-les-Vignes. Pour un Manuel Valls, député-maire d'Évry, qui affronte cette réalité, combien d'élus socialistes l'évitent, comme Lionel Jospin en 2002? Autiste, la droite, avec ses«usines à gaz»fiscales. Certes, il est temps de supprimer le bouclier fiscal et de s'interroger sur l'ISF, qui frappe jusqu'aux propriétaires de maisons de pêcheurs sur l'île de Ré. Mais quid des petits épargnants dont le taux du livretA - 2%- est rogné par une inflation à 1,7%? Et du«peuple de la rue»dont un film de Serge Moati montrait, hier, sur France3, la détresse? Chacun des deux camps espèrerait-il secrètement que la poussée de Marine Le Pen lui assurera une victoire à la Jacques Chirac en 2002?Rêverait-il d'un nouveau 21 avril?Ou d'un 21avril à l'envers?Là, il ne s'agirait plus d'autisme. Mais de cynisme.

  • Christine Clerc

 

  

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5 mars 2011 6 05 /03 /mars /2011 15:07

 

Si ces sondages sont confirmés et si l'UMP prend une raclée aux cantonales se posera la question de la candidature de Sarkozy. Les déclarations et attitudes de Borloo, Copé et Fillon ne sont que des positionnement au cas où il faudrait remplacer Sarkozy.

Les semaines qui viennent vont être passionnantes .Si Marine Le Pen élargit sa structure politique au delà du FN en organisant un vaste regroupement des nationaux souverainistes et autres opposés à la mondialisation , l'UMP implose . Quant au PS l'accélération de l'histoire pourrait remettre en cause ses primaires

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5 mars 2011 6 05 /03 /mars /2011 13:44

 

    Marine Le pen est aujord'hui en tête dans les sondages pour la présidentielle. ( sondage le Parisien Harris interactive) Avec 23% elle devance Martine Aubry et Nicolas Sarkozy qui sont à 21%.

   Si vous êtes électeurs ou électrices dans le canton du Plessis Robinson Haut Clamart  pour conforter la vague bleu Marine voter pour

          RODOLPHE LAISNE LE CANDIDAT DE MARINE LE PEN

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2 mars 2011 3 02 /03 /mars /2011 22:27

 

 

  Un article  d'Ivan Rioufol à lire et méditer face à l'intox de l'UMPS

 

  Pour ceux qui, à droite et à gauche, doutent de l'utilité d'un débat sur l'islam, il suffit d'écouter le premier ministre turc Recep Tayyip Erdogan, cité en exemple pour son "islamisme modéré"  sensé inspirer le monde musulman. En 2010, de passage à Paris, il avait mis en garde la communauté turque contre l'assimilation, comparée à "un crime contre l'humanité". Lors de sa dernière visite en Allemagne, cette semaine, il a été plus explicite dans le refus de s'adapter aux pays d'accueil, sinon par une "intégration" minimum. "Personne ne doit nous arracher notre culture", a-t-il déclaré devant sa communauté (2,5 millions de personnes), en ajoutant: "Je veux que les Turcs soient présents à tous les niveaux, en Allemagne, dans l'administration, la politique, la société civile".  Mais il a été encore plus loin, lundi, en déclarant que les enfants turcs "doivent  apprendre d'abord leur langue maternelle, et ensuite l'Allemand".. Erdogan a au moins le mérite d'être clair.

Il est intéressant d'examiner ses arguments différentialistes. Ils sont défendus en France par Tarik Ramadan, notamment, qui reçoit un écho très favorable dans les cités d'immigration. Erdogan en appelle d'abord au "droit international, (où) il existe une règle selon laquelle les immigrés doivent entretenir la langue et la culture de leur pays d'origine dans les pays dans lesquels ils vivent (...) Par conséquent, une politique qui consisterait à priver les immigrés de leur langue et culture serait une infraction au droit international". Il rappelle aussi que "l'islamophobie est un crime contre l'humanité, autant que l'antisémitisme". Il voit enfin une "discrimination" dans les réticences, notamment françaises, à une adhésion de son pays à l'Union européenne. Erdogan s'était d'ailleurs énervé la semaine dernière contre Nicolas Sarkozy et son voyage éclair en Turquie: "Nous lui avons dit que son attitude concernant la Turquie est totalement erronée et nous allons l'interroger sur ce point".

Ces comportements et déclarations aussi méprisants illustrent le complexe de supériorité des "islamistes modérés" face à une Europe déjà soumise et qui se laisse humilier sans vraiment réagir. C'est cette couardise politique qui pose un problème à la France. Est-ce aux nouvelles minorités d'imposer leurs règles au pays d'accueil? Il serait bon d'écouter ce qu'en dit le peuple. Aucune raison ne justifie que l'islam demeure intouchable, même s'il n'est pas question d'accuser l'ensemble des musulmans de vouloir négocier leurs adhésions selon leurs intérêts. Beaucoup d'entre eux ont accepté d'emblée les règles de la République laïque. Il empêche: un message clair est à adresser à ceux qui pourraient se sentir conforter par les propos d'Erdogan ou de Ramadan. Il ne s'agit pas seulement de statuer concrètement sur les prières dans la rue, la mixité à la piscine et les repas halal dans les cantines scolaires, comme le souhaite Sarkozy. Il faut oser dire non aux prétentions et intimidations de l'islam politique.

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1 mars 2011 2 01 /03 /mars /2011 00:07

  Officiellement, rien n’a changé : la Grèce remboursera son énorme dette publique, comme elle s’y est engagée et comme s’y sont engagés ses partenaires de la zone euro afin de rassurer les investisseurs. Mais, dans les coulisses, on commence à admettre que la tâche est impossible : il y a des limites à ce que les peuples peuvent endurer. «Nous n’en pouvons plus», clamait ainsi mercredi à Athènes une banderole lors de la manifestation qui a accompagné la première grève générale de l’année 2011. «Nous sommes en train de mourir», avertissait une autre. Cette journée, marquée par un regain de mobilisation contre la cure de rigueur sans précédent que les Grecs subissent depuis un an, a fait ressurgir les craintes d’une déstabilisation politique. Du coup une question revient en force au sein de l’Union : pour redonner de l’air à la Grèce, ne vaudrait-il pas mieux «restructurer» cette dette qui ne cesse de gonfler, c’est-à-dire l’alléger en présentant l’addition à ceux qui lui ont prêté inconsidérément de l’argent ?

 

«Tout le monde réfléchit à une restructuration, mais les autorités publiques ont peur de déclencher au sein de la zone euro un nouveau Lehman Brothers», affirme André Sapir, professeur d’économie à l’université libre de Bruxelles. Les chiffres grecs sont effrayants. En 2009, le déficit public a atteint 15,5% du PIB et la dette 127,8% du PIB. En 2011, le déficit sera ramené à 7,9%, mais la dette va continuer son envolée à 152,6% (environ 350 milliards d’euros). Un déficit en grande partie dû au paiement des intérêts de la dette : le déficit «primaire» ne sera en effet que de 1,5%.

En clair, l’austérité ne fait que commencer. Il faudra au moins vingt ans pour que la Grèce ramène sa dette publique à 60% du PIB, et encore, à condition de dégager un excédent budgétaire primaire annuel compris entre 8,4% et 14,5% du PIB, en fonction du scénario de croissance retenu, selon une étude que du centre de réflexion économique Bruegel. Mission impossible selon ses auteurs : «Cela implique de consacrer entre un cinquième et un tiers des impôts au remboursement de la dette publique. Au cours des cinquante dernières années, aucun pays de l’OCDE, sauf la Norvège grâce à ses revenus pétroliers, n’a dégagé de façon permanente un surplus primaire de plus de 6% du PIB.» Même si la Grèce restaure sa compétitivité, même si la croissance est au rendez-vous, l’horizon paraît définitivement bouché.

La quasi-totalité des économistes estime désormais que la Grèce n’a plus seulement un problème de liquidités, c’est-à-dire d’accès aux marchés, mais un problème de solvabilité. Autrement dit, elle ne pourra pas rembourser. Ce n’est pas un hasard si les taux d’intérêt à dix ans exigés par les marchés sur la dette des pays périphériques de la zone euro (Grèce, Irlande, Portugal et Espagne) sont désormais aussi élevés qu’en avril 2010, juste avant que cette zone n’adopte un plan de sauvetage… Elle ne va pas pouvoir très longtemps tourner autour du pot grec. Athènes est censée revenir sur les marchés à partir de juin 2013, à l’échéance du plan d’aide de 110 milliards d’euros. «Athènes devra emprunter entre 30 et 35 milliards d’euros par an sur les marchés», explique un trader basé à Londres : «En l’état actuel des finances publiques grecques, les investisseurs exigeront des taux insoutenables. Surtout que la zone euro a prévenu que toutes les obligations contractées après juin 2013 pourront être restructurées, ce qui accroît le risque. Autant dire que les marchés resteront fermés pour la Grèce après 2013.» Bref, la restructuration est inévitable afin de permettre au pays de ne pas mourir étouffé par la dette.

Déjà, il est acquis que les prêts du FMI et de l’UE ne seront pas remboursés avant 2020  voire 2025. Il faudra aussi que les pays de la zone euro diminuent les taux d’intérêt qu’ils exigent de la Grèce et qui sont trop élevés (autour de 6%). Mais les banques et assurances devront être mises à contribution : en clair, les actionnaires prendront une taule sérieuse et certains établissements devront être recapitalisés par de l’argent public, ce qui reviendra à faire supporter l’effort à l’ensemble des contribuables de la zone euro… «Mais il ne faut pas se précipiter, prévient Laurence Boone, économiste en chef de Barclay’s Capital. Il faut d’abord que la Grèce poursuive ses efforts pour convaincre les marchés qu’elle a changé et que les erreurs du passé ne seront pas répétées.» Surtout, «il faut avoir une idée plus précise de l’exposition des banques à la dette grecque pour éviter un effet systémique, notamment sur les banques des autres pays périphériques, ajoute André Sapir. D’où l’importance des prochains stress tests [tests de résistance financière, ndlr] sous supervision européenne.»

Si la décision de restructurer la dette grecque est prise, il faudra ensuite croiser les doigts : «On ouvre la boite de Pandore, prévient un banquier londonien, C’est l’effondrement d’un monde. Si les marchés paniquent, d’autres pays périphériques de la zone euro peuvent à leur tour tomber.»Jean Quatremer

 

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27 février 2011 7 27 /02 /février /2011 09:20

  C'était à Levallois. Isabelle Balkany embrassant jean paul Huchon  venu soutenir monsieur Turbet le bras droit de Philippe Kaltenbach à Clamart

Voilà encore un magnifique exemple de la collusion UMPS dans le 92 et ailleurs

 

 

| (lp/Jérôme bernatas.) Zoom

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26 février 2011 6 26 /02 /février /2011 22:48

 

  Il y a près de 3 millions de chomeurs.
  Il y a une crise grave du logement: il manque 150 000 logements neufs par an.
  Le nombre des sans logis et des mal logés augmente dramatiquement chaque année
  D'après les recoupements éffectués par l'IFRAP, le coût de la CMU ( couverture sociale pour toute personne se trouvant sur le territoire national depuis plus de 3 mois et notamment les sans papiers) est d'environ 6 milliards d'euros.

 Si nous résumons, la France ne peut pas donner de travail à tous le monde,ne peut pas loger tous le monde, à ses systèmes de protection sociale qui implosent, et bien cette France laisse rentrer 200 000 immigrés chaque année (hors sans papiers)

 La question simple s'adresse aux représentants  des deux grands partis de la République  l'UMP et le PS. Comme nous n'avons pas la prétention d'imaginer que JF Copé ou Martine Aubry daigneront nous répondre , nous adressons aux 2 représentants locaux de l'UMPS à savoir Philippe Pemezec ,Philippe Kaltenbach  mais aussi à notre député Schosteck la question suivante

  Pourquoi accepte-t-on 200 000 immigrés supplémentaires par an alors que nous n'avons pas de travail à leur donner, que nous n'avons pas de logements pour eux et que notre couverture sociale est à l'agonie.?
  Est ce un moyen de tirer les salaires vers le bas et de renforcer la précarité?

   On espère une réponse , mais une chose est sure il y a loin de vos discours à la réalité des choses.

   Réveillez vous, ouvrez les yeux!
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24 février 2011 4 24 /02 /février /2011 17:28

  

 

 La lettre aux fonctionnaires

Longtemps, il a existé entre nous un malentendu. Peut-être parce que nous n’avons pas eu les bons mots pour vous parler, et surtout parce que nos idées ont été caricaturées, beaucoup d’entre vous ont cru de bonne foi que le Front National était votre ennemi, l’ennemi des fonctionnaires.

Je m’adresse à vous pour clarifier les choses.

En réalité, nous avons vocation à travailler ensemble, à nous retrouver dans des combats communs pour la France.

En effet, la plupart d’entre vous ont fait le choix de la fonction publique parce qu’ils veulent servir l’intérêt général, dans des conditions de plus en plus difficiles. Cette noble motivation, qui vous honore, nous la partageons. Quand les partis au pouvoir depuis tant d’années se déconsidèrent dans des querelles permanentes d’appareils, quand ils s’accrochent à des dogmes éculés et ne donnent pas le sentiment d’être au service de la République française, le Front National s’efforce de toujours garder le cap de l’intérêt général, du bien public.

Au service de l’intérêt général, nous le croyons fermement, l’État a un rôle central à jouer. Au cœur de notre identité, l’État est la colonne vertébrale de notre pays depuis des siècles, des rois bâtisseurs à la Cinquième République. C’est vers lui que les Français se tournent quand ils vont mal. C’est de lui qu’on attend une ligne directrice dans la conduite des affaires du pays. À travers ses institutions, au premier rang desquels l’école, c’est lui qui assure l’unité de la nation et la formation de citoyens éclairés et libres.

Le Front National propose de bâtir un État fort

L’État fort, c’est d’abord un État stratège, qui aiguillonne notre pays vers l’innovation, la prospérité, et assure son rayonnement.

L’État fort, c’est ensuite un État protecteur, qui se donne les moyens de  développer pour tous l’économie et l’emploi.

L’État fort, c’est enfin un État solidaire, garant notamment des services publics auxquels nous sommes tous tellement attachés.

Il n’y a pas d’État fort, sans fonction publique formée, organisée, cohérente et motivée.

Malheureusement, vous le constatez chaque jour dans vos fonctions : l’État et la fonction publique ont été gravement affaiblis par des années de conduite irresponsable des affaires.

Imposée par des élites de plus en plus coupées du peuple, la fuite en avant vers la mondialisation débridée a progressivement entraîné le démantèlement de l’État. L’Union européenne n’est rien d’autre qu’un catalyseur de ce mouvement désastreux.

Sous la présidence actuelle, cette dangereuse évolution, cette irresponsable volonté de s’attaquer à l’État, connaissent une accélération inédite. Avec le processus de révision générale des politiques publiques (RGPP), l’État a été désorganisé et ses fonctions essentielles atteintes.

Ainsi, le réseau local de l’État n’est plus que l’ombre de lui-même. 16.000 postes de policiers et de gendarmes ont déjà été supprimés depuis 2005, et une menace sérieuse pèse désormais sur l’existence même de la gendarmerie. L’armée se rétracte partout, à l’instar de nos services diplomatiques dans le monde. L’École est saignée à blanc, au moment précis où la chute du niveau des élèves, la progression continue des violences scolaires et le relâchement des valeurs exigent au contraire un effort de la Nation. L’hôpital public est exsangue, et nombre de professionnels de santé s’alarment des conditions de travail et d’accueil des patients qui sont aujourd’hui celles d’un système de soins amenuisé. Comment ne pas évoquer enfin ce qui serre le cœur de tous les Français : la grande braderie de notre patrimoine national, engagée à vive allure depuis 2005. La cession au secteur privé de nos trésors nationaux constitue un crime impardonnable contre le peuple de France.

Cette anémie organisée de l’État s’accompagne d’un effritement du sens de l’intérêt général parmi les élites administratives, et plus encore politiques.

Beaucoup d’entre vous me le disent : attachés au service public, ils se lamentent de voir leurs hauts responsables agir selon des valeurs qui ne sont plus celles du sens de l’État.

N’ayant plus foi en leur propre pays, les dirigeants politiques ont organisé la sélection d’élites administratives qui trop souvent n’ont plus vraiment foi en l’État.

J’en appelle pour ma part au retour du sens de l’État, à l’esprit de ses grands commis, à la culture des hussards noirs de la République, à la passion du bien public qui continue heureusement encore d’animer la conduite de nombreux agents publics, œuvrant souvent dans la discrétion, mais avec la farouche volonté de servir l’intérêt général.

Il faudra tourner la page de la RGPP, et donner à l’État les instruments juridiques et techniques de sa puissance.

La fonction publique sera vivifiée par une sélection plus à même de valoriser le sens de l’État et du service public.

Gage d’indépendance, le statut sera préservé, et des règles seront fixées pour éradiquer les conflits d’intérêt aux plus haut échelons de l’administration.

Les fonctions essentielles de l’État verront leurs effectifs restaurés, alors que le marché de dupes -baisse des effectifs contre hausse des traitements- jamais tenu, sera dénoncé. Il est possible de revaloriser les salaires les plus faibles de la fonction publique, en cessant notamment de traiter de façon uniforme l’ensemble des agents publics. Le gel des rémunérations pour tous, petits ou hauts fonctionnaires, est ainsi particulièrement choquant quand on connaît la faiblesse des traitements réservés en bas de la hiérarchie. Les situations devront être différenciées.

Redresser l’État, permettre à la fonction publique de retrouver confiance, seront nos principes directeurs. Ils ne se confondent pas avec une course aux effectifs. Le sens des responsabilités, et l’exigence de justice sociale que nous portons, nous obligent à une bonne gestion des deniers publics. À cet égard, la fuite en avant des collectivités territoriales, dans un contexte de décentralisation irresponsable depuis trente ans, devra cesser. Les collectivités locales devront enfin maîtriser leurs effectifs, et un rééquilibrage se fera au bénéfice de l’État, appelé à reprendre des compétences stratégiques. Le Front National a le sens des priorités, et n’acceptera nulle part les dérives induites par le clientélisme et la reconstitution de baronnies locales.

Confrontés comme tous les Français aux terribles difficultés que traverse notre pays, plus que les autres peut-être, vous percevez les causes de son affaissement.

Mais peut-être aussi plus que les autres, vous connaissez les immenses atouts de la France, et la noblesse que recèle le service public, le service de tous les Français. C’est pourquoi je souhaite avant tout aujourd’hui, par cet appel que je lance à l’ensemble des agents publics, vous porter un message d’espérance. Le redressement qui vient ne pourra pas se faire sans vous. Je sais les immenses réserves de dévouement et de courage de notre fonction publique, celle que le monde nous envie. La France compte sur vous

MLP

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